La compréhension des mécanismes du vieillissement
Le vieillissement est considéré comme un phénomène lent et progressif d’usure de l’organisme, aboutissant à une altération et à une destruction cellulaire inéluctable.
C’est ainsi que l’on assiste au fur et à mesure des années, à une multitude de décroissances physiologiques au sein de la mécanique corporelle, le déclin de certaines cellules commençant même dès la naissance, voire in utero.
Pourtant, certaines espèces vivantes semblent avoir développé la capacité innée d’échapper à ce phénomène de vieillissement, que l’on croyait au départ universel et inévitable chez tous les êtres vivants.
Il existe en effet des animaux sur la planète, comme certains poissons ou amphibiens chez lesquels l’espérance de vie demeure indéterminée.
C’est par exemple le cas de certaines méduses telles que Turritopsis nutricula, qui sont considérées comme immortelles, ces animaux mourant généralement de maladies, de prédation ou d’accidents, et non pas de vieillissement à proprement parler.
Echapper au processus de vieillissement
Petite en taille, mais longue en espérance de vie
La méduse Turritopsis nutricula ne mesure que 5 millimètres de diamètre, mais peut théoriquement vivre ad vitam æternam ! En effet, grâce à un processus cellulaire particulier appelé transdifférenciation, l’animal est capable de stopper son vieillissement et même de rajeunir.
Si l’on se place à l’échelle de l’espèce humaine, on observe également dans certaines régions du globe que l’on appelle les zones bleues, des peuplades entières qui ont acquis cette faculté exceptionnelle de repousser les limites biologiques du vieillissement, en affichant des taux records de longévité en bonne santé.
On peut alors se demander si le fait de vouloir vivre au-delà de 100 ans en bonne santé, voire même de dépasser les 122 ans de la doyenne de l’humanité Jeanne Calment, relève de la pure utopie ou s’il s’agit d’un objectif à notre portée ?
La réponse à cette question passe nécessairement par la compréhension des mécanismes du vieillissement, et c’est le sujet que j’ai choisi d’aborder dans cet article, en vous présentant les cinq théories du vieillissement les plus probantes élaborées à ce jour.
La théorie du raccourcissement des télomères
En analysant la composition du sang de nombreux centenaires, des chercheurs ont recueilli de précieuses informations concernant l’un des secrets qui pourrait expliquer leur longévité hors du commun.
Cette découverte a également permis de corroborer l’une des plus célèbres théories du vieillissement, qui a valu en octobre 2009 à trois scientifiques américains, de recevoir le prix Nobel de médecine : la théorie du raccourcissement des télomères.
Déjà en 1971, le biologiste soviétique Alekseï Olovnikov avait émis l’hypothèse que la durée de vie maximale de nos cellules était liée au raccourcissement progressif de nos télomères, ces petites structures qui se trouvent aux extrémités de nos chromosomes et qui assurent l’intégrité de notre patrimoine génétique.
En effet, pour régénérer et renouveler en permanence nos tissus et nos organes, nos cellules se divisent régulièrement. Et à chaque division cellulaire, les télomères raccourcissent, jusqu’à devenir trop courts pour continuer à remplir leur fonction de protection de l’ADN.
Les cellules ne pouvant plus se diviser, elles entrent alors dans un état dit de « sénescence », puis finissent par mourir. Les télomères font ainsi office d’horloge biologique régissant la durée de vie de nos cellules.
Mais les analyses de sang de nos fameux centenaires ont révélé un fait surprenant : cette dégénérescence cellulaire à laquelle nous sommes tous soumis et sur laquelle nous pensions ne pas avoir d’emprise, peut en fait être contrecarrée grâce à l’activation d’une enzyme que notre corps produit lui-même naturellement, la télomérase.
En effet, les chercheurs ont découvert que cette enzyme était capable de réparer les télomères et donc de prolonger la durée de vie de nos cellules. La production de télomérase déclinant avec les années, il nous faut alors trouver le moyen de la réactiver si nous voulons rallonger notre espérance de vie de plusieurs années.
Et l’un des meilleurs moyens pour réactiver notre production naturelle de télomérase, est d’adopter un mode de vie sain, à l’image de celui pratiqué par les habitants des zones bleues : le fait notamment de bien s’alimenter, d’avoir une activité physique régulière, d’apprendre à gérer son stress au quotidien ou encore d’éviter le tabac et l’alcool, exerce selon les études scientifiques des effets bénéfiques sur le vieillissement de nos cellules.
Sachez également que des études récentes ont isolé chez l’astragale, une petite fleur utilisée en médecine traditionnelle chinoise depuis des milliers d’années, deux principes bioactifs capables de stimuler la production de télomérase. De par sa faculté à renforcer l’énergie vitale et la fonction immunitaire, cette plante a même acquis le statut de « tonique supérieur ».
J’oriente généralement mes patients sur un Quantis d’astragale du laboratoire LPEV que vous pourrez vous procurer en cliquant ici. Une précaution d’usage s’impose toutefois pour les femmes enceintes et allaitantes, les personnes allergiques aux plantes de la famille des Fabacées, ainsi que les femmes ayant des antécédents personnels ou familiaux de cancer du sein.
La théorie de la glycation
Beaucoup de gens n’ont qu’une vague idée des mécanismes impliqués dans le processus de vieillissement. Ils pensent généralement qu’ils ne peuvent rien faire contre ce phénomène et que leur espérance de vie dépend en grande partie de leur patrimoine génétique.
Mais s’il y a bien une chose sur laquelle nous pouvons agir au quotidien afin de nous prémunir contre le vieillissement, c’est l’alimentation, avec pour priorité numéro un, de limiter notre consommation de sucre. Car nous voulons à tout prix éviter une réaction dans notre corps qui nous fait vieillir avant l’heure : la glycation.
En effet, la glycation est une réaction chimique au cours de laquelle un sucre se combine à une protéine, donnant une sorte d’agrégat non fonctionnel qui, une fois oxydé dans l’organisme, entraîne toute une série de conséquences néfastes pour la santé.
Cela se traduit notamment par une inflammation et une détérioration des vaisseaux sanguins, une lésion des cellules nerveuses, une rigidification des différents tissus du corps, une perte d’élasticité des artères, une perturbation du système immunitaire, et finalement un vieillissement précoce de l’organisme dans son ensemble.
La glycation est aussi plus connue sous le nom de réaction de Maillard : pour bien comprendre ce mécanisme, c’est un peu comme si notre corps se « caramélisait » de l’intérieur par excès de sucre dans le sang. En outre, les protéines glyquées s’accumulent dans les cellules, car elles ne peuvent être détruites ou éliminées par l’organisme.
D’autant que notre corps en produit tous les jours, et plus encore avec les aliments industriels et la malbouffe : céréales sucrées du petit déjeuner, viande cuite à haute température (barbecue), aliments frits, pâtisseries, sodas, glaces, etc. sont en effet de plus en plus incriminés dans la prévalence des maladies de civilisations.
Le sucre fait vieillir avant l'heure
Tous les aliments à indice glycémique élevé participent au phénomène de glycation
Plus les molécules de sucres vont être petites et plus les réactions vont être intenses. Cela veut dire que les sucres simples comme le glucose, le galactose et le fructose présents dans les produits ultra-transformés de l’alimentation industrielle, vont causer dans le corps plus de dommages que les sucres complets.
Vous l’aurez compris : le sucre accélère le vieillissement. Et cela se voit également de l’extérieur sur l’apparence de la peau, avec l’apparition de rides et ridules. C’est pourquoi la médecine anti-âge insiste beaucoup sur les conseils nutritionnels et sur le rôle de la prévention, les dégâts de la glycation étant non seulement visibles mais surtout non réversibles.
Un autre moyen très intéressant de lutter contre le relâchement de la peau et l’apparition des rides, est d’utiliser régulièrement les patchs de photothérapie Lifewave qui permettent de relancer la production naturelle de carnosine par l’organisme.
Cette substance fait vraiment des merveilles, car non seulement elle permet de s’opposer au processus de glycation, mais en plus de ça, elle permet aussi de freiner le phénomène de raccourcissement des télomères. Elle constitue donc un incontournable de la lutte anti-âge pour quiconque ambitionne de conserver sa jeunesse au fil des années.
Le patch Carnosine
La carnosine est l'un des antioxydants les plus puissant du corps humain
Beaucoup d’experts prévoient que la carnosine deviendra le traitement quotidien fondamental pour les gens de tous âges ; mais en particulier ceux qui ont atteint plus de 40 ans devraient la considérer en tant que supplémentation indispensable à long terme pour renforcer toutes les fonctions vitales de l’organisme et permettre une durée de vie maximale.
La théorie des radicaux libres
Si de prime abord le vieillissement apparaît comme un processus biologique naturel auquel nous ne pouvons nous soustraire, une autre théorie suggère au contraire que le déclin de notre organisme est avant tout le fruit d’une suite d’agressions qui pourraient être évitées, ou du moins réparées.
La théorie radicalaire du vieillissement, qui a été mise en évidence en 1956 par le Docteur Denham Harman, a permis de montrer que la présence excessive de radicaux libres en circulation dans le corps, est responsable de réactions d’oxydations occasionnant des dommages et des lésions à nos cellules.
Heureusement, notre corps dispose de plusieurs mécanismes de réparation internes qui sont continuellement activés au cours de notre vie, pour nous permettre de faire face à ces nombreuses agressions.
Notre corps génère notamment un certain nombre de molécules dites antioxydantes ou antiradicalaires qui vont stabiliser les radicaux libres et stopper la réaction en chaîne qu’ils provoquent au sein de l’organisme. Ce sont par exemple certaines enzymes, la coenzyme Q10, l’acide lipoïque, la mélatonine ou encore le glutathion.
En ce qui concerne plus particulièrement le glutathion, on s’est aperçu par exemple qu’il se trouvait généralement en faible quantité chez les malades atteints de la maladie de Parkinson et que son administration permettait de ralentir le développement de la maladie.
Le patch Glutathion
Le glutathion est le principal antioxydant et agent de détoxification du corps humain
Différents essais cliniques indiquent que l’élévation moyenne du taux de glutathion dans le sang suite à l’application du patch sur une période de 24 heures, peut atteindre des niveaux jusqu’à 3 fois supérieurs à la normale, résultats tout à fait exceptionnels qu’aucun autre procédé connu à ce jour, ne permet d’obtenir.
Nous pouvons également trouver des antioxydants directement dans l’alimentation. Ces substances nous permettent ainsi tous les jours de lutter contre le stress oxydatif et d’éviter à notre corps de rouiller de l’intérieur.
Parmi tous les aliments existants sur terre, ce sont les végétaux qui apportent le plus d’antioxydants à l’organisme et tout particulièrement les fruits rouges (fraises, framboises, mûres, baies de goji, canneberges, groseilles et autres myrtilles).
Mais notez que la plupart des végétaux colorés (tomates, carottes, poivrons, citrons, oranges, abricots, melons, etc.) en sont également richement pourvus et sont donc à intégrer à votre menu le plus souvent possible.
Ces nutriments évitent à votre corps de rouiller
Les fruits et les légumes colorés sont particulièrement riches en antioxydants
Les études épidémiologiques montrent que les personnes qui consomment beaucoup de fruits et de légumes vivent plus longtemps que les autres.
Dans la zone bleue d’Okinawa par exemple, les habitants consomment plusieurs super-aliments tels que le shekwasha, un agrume qui renferme 400 fois plus de polyphénols antioxydants que tout autre fruit.
En principe, il y a un équilibre constant qui se fait à l’intérieur du corps, entre la formation et la neutralisation des radicaux libres. Seulement, nos capacités de protection sont la plupart du temps dépassées, car les sources favorisant leur production sont aujourd’hui multiples.
Le simple fait de respirer, et donc d’être en contact avec l’oxygène, est pourvoyeur de radicaux libres. Mais ce sont aussi l’excès de sport (surtout chez les sportifs de haut niveau), les pollutions atmosphériques et tabagiques, l’excès d’alcool, le bronzage intensif, les pesticides, les métaux lourds, l’inflammation ou les infections chroniques, l’ionisation et le grillage abusif des aliments, l’alimentation trop pauvre en fruits et légumes, etc.
Nous pouvons également citer la suralimentation qui est une cause majeure de stress oxydatif, car plus on consomme de nourriture, plus on brûle de calories et plus on fabrique de radicaux libres. C’est pourquoi la frugalité, qui limite le stress oxydatif, est un des secrets de longévité des centenaires et des supercentenaires qui peuplent les zones bleues.
La théorie immunitaire
Le processus de vieillissement, s’il n’est pas correctement contrôlé, entraîne une altération de presque toutes nos fonctions physiologiques, y compris celles liées au fonctionnement de notre système immunitaire.
C’est pourquoi au fil du temps, nous devenons plus vulnérables aux différentes agressions que nous impose la vie et plus susceptibles de développer certaines infections virales, telles que la grippe ou la Covid-19. Mais cela ne s’arrête pas là…
Au fur et à mesure de notre avancée en âge, les changements qui impactent notre système immunitaire vont avoir une incidence directe sur notre longévité, en nous exposant davantage à différentes maladies chroniques et dégénératives.
Car non seulement notre système immunitaire est censé nous protéger contre les virus et les bactéries, mais il est aussi censé nous aider à identifier et à éliminer de notre corps les toxines et les cellules cancéreuses. Sans compter que des facteurs aggravant viennent amplifier le phénomène.
C’est le cas notamment du stress dont les conséquences sur le vieillissement sont multiples : de par l’hypersécrétion de cortisol qu’il occasionne, le stress entraîne un déclin hormonal, un vieillissement prématuré du cerveau, une production accrue de radicaux libres et une atrophie du thymus, accélérant d’autant plus le déclin du système immunitaire et laissant le champ libre aux cancers ou aux maladies auto-immunes.
En effet, en involuant de la sorte, le système immunitaire ne semble plus être en mesure de discriminer de façon efficace ce qui relève du soi, de ce qui lui est étranger. Ce dernier va donc confondre progressivement ses propres protéines avec des protéines étrangères.
L’apparition de cancers ou de maladies auto-immunes ne serait donc que la conséquence des modifications du système immunitaire. La bonne nouvelle, c’est que nous avons le pouvoir de lutter au quotidien contre cette « immunosénescence », en cherchant d’une part à soutenir notre système immunitaire, et d’autre part à lutter contre le stress.
Le patch Aeon
Le patch Aeon permet de favoriser une réponse anti-stress et anti-inflammatoire à l’intérieur du corps
Le patch Aeon interrompt le processus de vieillissement à sa source en réduisant les niveaux d'inflammation dans l’organisme et en favorisant un état durable de relaxation. Ainsi lorsque l'inflammation et le stress sont réduits, les dommages subis par les organes, les cellules et l’ADN diminuent.
La théorie endocrinienne
Nous avons tous parmi nos connaissances, des gens qui paraissent plus jeunes que leur âge, ou au contraire des personnes qui semblent avoir vieilli avant l’heure.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ?
Parmi les nombreux facteurs pouvant expliquer de telles différences entre les individus, l’équilibre de notre alchimie hormonale intérieure semble jouer un rôle déterminant dans la manière dont nous subissons l’épreuve du temps.
Alors que les habitants des zones bleues restes alertes et en bonne santé jusqu’à un âge avancé, beaucoup de personnes à tout juste cinquante ans, commencent déjà à ressentir différentes altérations de leur facultés physiques et mentales, tels qu’une baisse de tonus, un sommeil perturbé, un moral en dents de scie, des capacités de concentration amoindries, des trous de mémoire intempestifs, des douleurs articulaires, une perte de masse musculaire, de l’embonpoint, etc.
Il s’avère en effet qu’avec le poids des années, si l’on a pas pris soin de mettre en place les bonnes actions, notre corps se met à produire moins d’hormones, ce qui induit au sein de l’organisme, toute une série de dysrégulations en cascade qui vont influencer directement la vitesse à laquelle notre corps vieillit.
Lorsque l’on est jeune, les hormones travaillent de concert, comme un véritable orchestre jouant une symphonie musicale, pour réguler nos différentes fonctions vitales : on estime généralement que les taux hormonaux sont à leur apogée autour de 25 ans et qu’ils commencent déjà à décliner dans les années qui suivent.
Des carences s’installent alors plus ou moins rapidement en fonction de notre génétique, mais cela va surtout dépendre de notre mode de vie : les déséquilibres nutritionnels, le manque d’exercice physique, le déficit de sommeil, le contact avec certaines toxines, le stress chronique, l’insuffisance d’exposition solaire, etc. sont autant de facteurs impactant nos sécrétions hormonales et donc notre longévité.
Ainsi, pour préserver votre capital jeunesse, il vous faudra cultiver avec constance toute une série de comportements, de règles d’hygiène de vie et de mesures diététiques, que je me propose justement de vous enseigner dans mon programme de coaching gratuit.
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